Biocoop et vous
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Nos engagements ont du goût !

Chez Biocoop, les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas. Ça se défend. Nos nombreux engagements en faveur de la naturalité, du respect de la saisonnalité, de la biodiversité, de l’innovation et des savoir-faire, donnent du goût à nos produits. Découvrez comment et pourquoi chez Biocoop, le goût de nos produits est le reflet de nos engagements !

Une démarche pionnière et globale pour l’amélioration de la qualité alimentaire

Biocoop, c’est avant tout une vision de l’alimentation respectueuse du vivant et des consommateurs guidée par le bon sens. C’est aussi la promesse d’un goût réussi, qui reflète la qualité et le goût sans artifice.

Améliorer l’offre alimentaire tout en respectant les écosystèmes et la biodiversité, c’est possible grâce à un ensemble d’engagements et une démarche globale qui impactent fortement le goût des produits, avec des résultats organoleptiques* directement perceptibles pour tous.

En effet, le goût est fortement lié à la qualité alimentaire de manière générale, et aux conditions de production d’un produit donné. Ainsi, en réalisant sa vision d’une alimentation pleine de bon sens pour les consommateurs et l’environnement, Biocoop réalise du même coup la promesse d'une expérience gustative à la hauteur de ses engagements.

À travers 5 produits emblématiques de nos gammes à marque Biocoop, découvrez comment nos principaux engagements influent sur le goût des produits, et vous permettent de retrouver le vrai goût des aliments.


* la qualité organoleptique se rapporte à ce qui est susceptible d'exciter un récepteur sensoriel (l'apparence, l'odeur, le goût, la texture, la consistance).

Engagement n°1 : des matières premières de qualité et naturellement goûteuses

Biocoop s’est engagé depuis plus de 4 ans dans un travail de reformulation de ses recettes pour limiter au maximum l’utilisation d’arômes. Le problème des arômes, ce n’est pas seulement qu’ils faussent notre perception du goût… Dans l’immense majorité des cas, les arômes, même dits “naturels”, sont des ingrédients ultra-transformés. Le règlement bio encadre l'utilisation des arômes. Seuls les arômes dénommés comme “naturels” au regard de la réglementation sont autorisés, mais que cela n'est pas suffisant pour garantir la naturalité de ces ingrédients.

En effet, même dans les arômes naturels, on peut retrouver un mélange opaque de substances ultra-transformées qui ne sont pourtant jamais inscrites sur les listes d’ingrédients. Ces substances pures ou quasi pures peuvent être aromatisantes, d’origine naturelle ou identiques au naturel, mais peuvent aussi être des supports d'arômes, des adjuvants, etc. C’est pourquoi Biocoop a souhaité aller plus loin que le règlement, pour permettre au consommateur de redécouvrir le vrai goût des aliments avec des produits goûtus, mais les plus naturels possible.

Comment ? ll a fallu trouver des matières premières de qualité pour que les produits puissent avoir naturellement le goût de celles-ci, sans avoir besoin de l’intensifier artificiellement en ajoutant des arômes.

Le résultat, c’est un produit qui goûte naturellement la fraise, de manière peut-être plus subtile que dans un produit aromatisé, mais avec un goût authentique, sans recours à la chimie alimentaire, et donc meilleur pour la santé.

Notre yaourt à la fraise à marque Biocoop est un parfait exemple d’une recette réussie, qui goûte naturellement la fraise tout en se passant d’arômes !

Engagement n°2 : des recettes comme à la maison

Cuisiner comme à la maison à l’échelle industrielle, c’est possible et c’est même recommandé. Pourquoi ? Parce que plus une recette est constituée d’ingrédients simples, avec lesquels on cuisinerait à la maison, meilleure elle est pour la santé. En travaillant sur les procédés de fabrication et en innovant pour mettre à l’échelle des savoir-faire de la cuisine maison, Biocoop a par exemple réussi à supprimer complètement la pectine de ses confitures. Un véritable défi, pour enfin revenir à une vraie recette de grand-mère.

La pectine, c’est une fibre isolée vendue sous la forme d’une poudre blanche souvent issue de la pomme, mais présente naturellement dans de nombreux fruits et notamment dans les pépins. Elle permet d’obtenir une texture plus ou moins gélatineuse dans les confitures, et d’éviter un effet coulis de fruits. Pour gagner du temps, parce que les fruits utilisés viennent souvent de loin et parce qu’ils ne sont pas toujours récoltés à maturité, les recettes industrielles contiennent fréquemment de la pectine pure, en l’occurrence un additif alimentaire ultra-transformé.

À l'inverse, dans les recettes traditionnelles, la maîtrise du temps de cuisson et une teneur élevée en fruits récoltés à pleine maturité permet à la pectine (naturellement présente dans les fruits) et au sucre de faire leur travail. L’action conjointe de la pectine et de la cuisson du sucre (aussi bien ajouté que celui naturellement présent en quantité dans les fruits mûrs), permet d’obtenir une texture satisfaisante et authentique.

C’est exactement ce qu’a réussi à faire Biocoop, notamment avec sa confiture fruits rouges extra, qui contient 60% de fruits et 0% de pectine !

Le résultat, c’est une confiture avec un intense goût de fruits rouges, moins sucrée et à la texture authentique.

Engagement n°3 : faire reculer l’ultra-transformation alimentaire

Limiter le recours aux arômes et supprimer la pectine des confitures, ce sont aussi deux conséquences d’un des engagements les plus ambitieux de Biocoop : faire reculer l’ultra-transformation alimentaire. Quand on sait que plus de 70% des références en rayons conventionnels, et 50% en rayons bio sont ultra-transformées*, le défi pour Biocoop a été immense. Aujourd’hui, 450 produits de la marque Biocoop ont été passés au crible par nos équipes R&D, et nous avons réduit ou supprimé les ingrédients ultra-transformés dans environ 100 références qui en contenaient, en favorisant l’utilisation d'ingrédients simples, que tout le monde peut trouver dans ses placards.

Par exemple, l’offre charcuterie à marque Biocoop ne contient plus de sels nitrités. De nombreuses autres améliorations de nos recettes peuvent être citées : le retrait des poudres à lever contenant du phosphate monocalcique dans les biscuits, le retrait des amidons dans les soupes, ainsi que des sirops de glucose-fructose (aussi appelés sirop de blé, sirop de maïs, sirop de céréales, etc.), ou encore la suppression des lécithines dans les chocolats.

Pourtant, cet engagement n’a pas été synonyme de la disparition des produits les plus gourmands qu’on retrouve dans les rayons des magasins Biocoop. Au contraire, nos équipes R&D ont réussi à reformuler entièrement de nombreux produits pourtant typiques de l’ultra-transformation alimentaire.

Un bon exemple est notre cordon bleu, qui ne contient aucun ingrédient ultra-transformé. Cette fois, vous pouvez goûter les yeux fermés ! Le cordon bleu Biocoop, c'est un goût garanti sans artifices.

*S.Davidou et al., “Organic food retailing: to what extent are foods processed and do they contain markers of ultra-processing?”, 2021

Engagement n°4 : soutenir la (bio)diversité des goûts

En outre, faire reculer l’ultra-transformation alimentaire, c’est aussi s’engager pour soutenir la biodiversité. Selon une étude publiée en 2022, les aliments ultra-transformés représentent 36 à 45% de la perte totale de biodiversité liée à l'alimentation, et jusqu'à un tiers des émissions de gaz à effet de serre de la production alimentaire. Alors, en faisant reculer l’ultra-transformation alimentaire, on protège aussi la biodiversité !

Mais saviez-vous que 70% de la surface cultivée en France était occupée par seulement 3 céréales ? Le blé, l’orge et le maïs…* À l’échelle mondiale, 50% des calories alimentaires proviennent de 3 méga-cultures : le riz, le blé, et le maïs…** Le problème, c’est que les monocultures intensives d’une même espèce de plantes sur toute une région, ce n’est pas un environnement très épanouissant pour le vivant en dehors et à l’intérieur du champ. Et l’impact des monocultures sur les écosystèmes est d’autant plus important en agriculture conventionnelle, qui reste largement majoritaire en France comme à l’échelle mondiale.

Au contraire, on observe qu’en augmentant la biodiversité cultivée et en alternant les cultures qui privilégient une agriculture biologique, le vivant revient dans les champs et au-delà. La faune, la flore et les micro-organismes bénéfiques à la terre occupent davantage les lieux, et des écosystèmes dans lesquels l'agriculture a toute sa place se reconstituent. En prime, la fertilité des champs augmente.

C’est pourquoi Biocoop s’engage à favoriser la (bio)diversité des goûts en utilisant des farines et des matières premières issues de cultures mineures dans au moins 10% de ses références, pour l’instant. Épeautre, sarrasin, légumineuses… regardez bien dans les rayons, il y en a dans beaucoup de recettes à marque Biocoop !

En goûtant à nos falafels menthe coriandre par exemple, vous protégerez le vivant le temps d’un repas, tout en variant les plaisirs gustatifs avec un produit 100% végétal.

Le résultat, ce sont des falafels au goût authentique, qui font du bien à la planète, à votre santé et à nos systèmes agricoles ! Changer les choses, ça commence parfois par un bon petit falafel.

*FAO et RPG, 2019       **IDRC et CRDI, 2010

Engagement n°5 : le goût de changer les choses en proposant des alternatives à la malbouffe

La notion de malbouffe désigne une nourriture considérée comme problématique tant au niveau de ses ingrédients, fréquemment ultra-transformés, que de la qualité nutritionnelle des produits en eux-mêmes, trop souvent riches en gras, en sucres et en sel. L’exemple des boissons de type sodas illustre bien le lien entre malbouffe et développement de maladies chroniques. Plusieurs études fournissent des preuves solides de l'impact négatif de ces boissons sur la santé, en pointant notamment du doigt un risque accru d’obésité et de diabète, même avec des versions 0, ou sans sucre*.

En effet, malgré une table nutritionnelle exemplaire, les sodas sans sucre ajouté contiennent de nombreux ingrédients ultra-transformés tels que des arômes et des édulcorants. Ces derniers envoient un message contradictoire à notre organisme : une perception sucrée mais aucun apport glycémique. La conséquence, c’est une perception somatique d’un manque de sucre que notre corps va chercher à combler en mangeant davantage, ce qui en retour augmente le risque d’obésité. Les sodas dits “diététiques”, sans sucre, seraient donc pires pour la santé, à long terme, que les sodas traditionnels**. D’où la responsabilité des fabricants et des distributeurs de proposer des alternatives à ces produits immensément populaires.

C’est pourquoi Biocoop s’engage à innover pour proposer ou faire redécouvrir des alternatives saines à des produits de grande consommation comme les sodas, qui permettent d’allier le plaisir, l’authenticité du goût et le mieux-manger.

Le résultat, c’est une boisson désaltérante et surtout vivante qui apporte des probiotiques et renforce le système digestif. Ajoutez à ceci un goût surprenant, joliment grenade, et une faible teneur en sucre : notre kombucha à marque Biocoop n’a pas à pâlir devant le moindre soda.

*Qi Q et al., “Sugar-sweetened beverages and genetic risk of obesity”. 2012 et Malik VS et al., “Sugar-sweetened beverages, obesity, type 2 diabetes mellitus, and cardiovascular disease risk”. 2010
**Diet soda intake is associated with long-term increases in waist circumference in a biethnic cohort of older adults: the San Antonio Longitudinal Study of Aging - Fowler SP et al. (2015)

Finalement, le goût de nos engagements, ce n’est que du bon sens. Et rien d’autre.

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